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Quand aimer rime avec pleurer ...
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4 janvier 2007

Nous deux ...

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Quand je t'ai connu, tout au début, c'est toi qui est tombé amoureux en premier, quand tu m'as avoué tes sentiments, j'ai préfèré fuir, et quand j'ai compris à quel point ta voix, tes coups de tel me manquaient, j'ai réfléchi, et je suis revenue vers toi...

Peut de temps après, le 28 novembre 2005, j'arrivais chez toi, et tu m'embrassais pour la première fois... 5 mois après, tu me quittais par MSN... j'ai eu du mal a digéré, mais j'étais entourée par ma voisine, ma confidente, alors ça allait, je remontais la pente, je me construisais des projets d'avenir.

Et il a fallu que je vienne pas loin de là ou tu vivais, ne t'avais je finalement pas oublié? Et puis des signes, beaucoup de signes, ton prénom, ton visage, ton nom de famille me faisaient des clins d'oeils... à chaque fois que je sortais de mon appartement je pensais à toi, et une fois que je rentrais, j'étais dans mon univers, ma coquille!

Et puis ce concert, le dernier concert des Wriggles, celui que j'attendais, tu savais que j'y serais, que je ne louperais pas l'évènement. Et tu es venu, toi aussi, alors que tu n'aimais pas ce groupe, alors que tu habitais quand même loin, alors que c'était au milieu des fêtes, tu es venu. Quand je t'ai revu, au début j'ai ressenti en moi un énervement, pourquoi tu étais là, tu m'as fait la bise... et tu es parti a une vingtaine de mètres de moi. Je sentais son regard se poser sur moi, et j'étais incapable de ne pas te regarder ... alors je t'ai regardé, et quand on est rentrés tout les deux dans nos cocons respectifs... tu m'as dis que tu voulais me revoir, au calme.

Moi j'avoue que j'ai eu peur, et puis finalement je t'ai revu plus tôt que je ne le pensais, ton père m'a emmenée dans ton cocon... j'avais peur de ta réaction, j'avais peur que tu ne veuilles pas me voir chez toi. Et au début ta réaction m'a confortée dans ma peur, alors j'ai pris mon courage a deux mains, et je suis venue te voir, on a parlé, on a fleurté comme des gosses... ça me plaisait énormement cette séduction. Jamais tu n'avais fais ça auparavent, quelques heures plus tard, dans la nuit du 10 au 11 août notre histoire reprenait.

Sur les chapeaux de roue, j'avais l'impression d'être devenue encore plus importante a tes yeux... et vint le camping, ma jalousie, excessive... j'avais peur de te perdre a nouveau, ça ne faisait pas longtemps qu'on s'était remis ensembles. Mais j'ai eu l'impression que ça nous avais consolidé... ensuite je venais chez toi aussi souvent que je pouvais. J'étais tellement bien avec toi! Et j'ai fini par trouvé un travail, j'en avais besoin, je n'avais pas assez de ressources pour avancer sereinement.

Donc on se voyait moins, on etais moins l'un avec l'autre. Et la dernière fois que je suis partie de chez toi alors qu'on etait ensembles... j'ai pleuré, pleuré de tout mon être quand je suis arrivée à Pau, peut être que j'avais ressenti ce qui allait se passer une semaine plus tard ... Tu me trompes, tu me le dis 2 jours après, j'accepte de t'excuser, mais au fond de moi j'accepte pas, je ne digère pas, alors je prends la moindre chose pour une montagne, je deviens chiante... et celle pour qui tu m'as quittée m'a remplacée dans ton coeur. Fin de l'histoire le 26 octobre 2006.

On est le 4 janvier, et je n'accepte toujours pas cette rupture, j'ai tant besoin de te voir. Et je pense que ça te fait plaisir a toi aussi de me voir ... sinon ... mais j'ai peur, je souffre, je pleure, de cette situation qui m'enfonce encore plus dans le désespoir, que dois je faire? ... T'oublier? Je ne le veux pas! ... T'aimer? Tu as quelqu'un d'autre dans ton coeur ... Mourir ? Je suis déjà morte!

Céline

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